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portrait

Parcours

Cécile Maudire habite à Cannes. Elle rayonne sur les scènes du monde entier avec des orchestres prestigieux: l'Orchestre Philharmonique de Monte-Carlo, l'Orchestre du Palau de les Arts Reina Sofia, l'Orchestre de Paris, l'Orchestre Philharmonique de Radio-France, L'Orchestre de l'opéra de Nice, l'Orchestre de Cannes. Cécile Maudire est lauréate du 16ème concours international de harpe en Israël, elle a remporté le premier prix du tournoi international de musique de Vérone. Elle participe à de nombreux festivals en France comme à l'étranger, pour des récitals ou en musique de chambre.
Cécile Maudire est professeur au conservatoire de Cannes, lors d'académie ou en masterclasse. Elle est présidente de l'Association Internationale des Harpistes et de l'Association Expressions 21.

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Laurent Coulomb : Lalita-Nartya, pour harpe
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Laurent Coulomb

Laurent Coulomb : Lalita-Nartya, pour harpe

Laurent Coulomb Lalitā-Nartya, poème chorégraphique pour harpe / choreographic poem for solo harp Cécile Bontron-Maudire, harpe / harp Partition publiée aux éditions Billaudot : http://www.di-arezzo.fr/partition/partition-classique/partition-pour-harpe/Laurent-Coulomb/Latita-Nartya---Po%C3%A8me-chor%C3%A9graphique/GBILL10228.html?PHPSESSID=5e40b6ae8da02d909d73029ce89af180 Photographies : © Michel Mignot et Nathalie Sicard. Lalitā-Nartya a été écrit sur la suggestion d'Églantine BISSERIER, danseuse odissi (danse classique de l'est de l'Inde). Cette pièce était destinée à l'accompagner sur une chorégraphie en partie préexistante. Ce sont donc des exigences chorégraphiques qui ont commandé sa structure rhapsodique et ses fréquents changements de rythme et de climat. Le langage harmonique est construit à partir de modes karnatiques, mais sans recherche de pittoresque. Le titre, Lalitā (tout à la fois « celle qui joue », « l'amoureuse » ou « la très belle »), est en même temps une évocation de la déesse Gaudi (dont Lalitā est l'un des noms dans la religion hindoue) et un hommage à la grâce de la danseuse qui a inspiré la pièce (nrtya désigne tout ce qui se rapporte à la danse). Il signifie ainsi à la fois : « la danse de la plus belle » et « le jeu de la déesse ». L'introduction expose dans la douceur un rythme pointé caractéristique qui unifiera toute la pièce, puis une brève anticipation du motif principal. Après un glissando affirmant la gamme, la danse commence par exposer plusieurs brefs motifs thématiques aux profils distincts, mais unifiés par la cellule rythmique originelle, et dont l'enchaînement propose divers contrastes agogiques ou dynamiques adaptés à la chorégraphie (le motif principal, déjà anticipé dans l'introduction, reviendra comme un leitmotiv tout au long de l'œuvre). Une rupture dans le discours introduit une séquence un peu plus modérée, mais dont l'animation progressive mène à un climax construit sur le premier motif. Une accalmie amène une dernière séquence, qui exploite une nouvelle fois le premier motif avant de mener, après un dernier crescendo, jusqu'à une douce coda. Cécile Bontron-Maudire, après un brillant parcours dans les conservatoires français, se perfectionne à la Haute École de Musique de Lausanne en Suisse. En 2006 elle remporte le deuxième prix du prestigieux Concours International de Harpe d’Israel et en 2008, le premier prix du tournoi musical de Vérone. Ces prix internationaux lui valent d’être invitée à se produire en tant que soliste et chambriste : tournées et concerts avec l’Orchestre Philharmonique d’Israel, l’orchestre symphonique d’Haïfa et l’orchestre de Cannes PACA, récitals, festivals de musique de chambre. Elle collabore également régulièrement avec l’Orchestre de Paris, l’Orchestre Philharmonique de Radio-France, l’Orchestre Philharmonique de Monte-Carlo, Orchestre de chambre de Lausanne, l’Orchestre de l’Opéra de Nice et l’orchestre régional de Cannes.

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